GERMAN OPEN 2015 : Auf Wiedersehen les bleus !

Publiée par Ivan Cappelli le jeudi 26 février 2015 à 18:33

Lucas

L'aventure tricolore au German Open 2015 n'ira pas au delà du stade des huitièmes de finale. Logiquement éliminés respectivement par les Indonésiens Tedjono et Rumbaka, Thomas Rouxel et Lucas Corvée quittent les derniers la scène de Mulheim.

Pas d'exploit pour les lieutenants du simple

Après avoir tous deux rempli leur contrat au coeur de la Ruhr, les numéros 2 et 3 français pouvaient sereinement aborder leurs huitièmes de finale. Rêver pourquoi pas à un match référence qui leur permettrait d'attaquer à pleines dents la suite de la saison. Mais la confiance engrangée sur les deux premiers tours n'aura cette fois pas suffi à ouvrir la voie vers une grande performance pour les deux derniers engagés tricolores.

À la bataille durant l'intégralité du match, Thomas Rouxel n'aura pourtant jamais démérité face à Andre Kurniawan Tedjono. Dans le coup jusqu'au bout de chaque manche, le Camblysien n'a cependant pas pu faire la différence dans les deux money time (21-17, 21-18).

Face à Dionysius Hayom Rumbaka, la sentence aura été encore plus sévère pour Lucas Corvée. Trop vite distancé, le joueur de l'IMBC92 s'incline assez nettement (21-11, 21-12) mais aura confirmé outre-Rhin son net regain de forme de 2015.

La plupart des bleus (exceptés Brice Leverdez, Gaëtan Mittelheisser et Audrey Fontaine, tous trois engagés au All England) retenteront leur chance dans 15 jours en Suisse, après une 8ème journée d'interclubs nationaux déjà décisive.

Les résultats du German Open 2015 ICI

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  • kosiric
    Le 26/02/2015 à 19h04 (0)
    Dommage pour Rouxel, il avait un coup a jouer. Cela m'etonne moins pour Corvee qui n'avait pas la tache facile a jouer...
  • Medor
    Le 28/02/2015 à 8h04 (0)
    En ce samedi il reste vraiment beaucoup de danois, hormis le simple dame ou ils sont en dessous dans les autres tableaux ils sont là.
    Quant à nous français on est toujours dans l'espoir.
    Meme si on peut penser à quelques progrès on est quand même malheureusement loin.